Si vous me poursuivez Vous êtes bon apôtre Souvenez-vous du charme La pauvre femme, qui naguère était heureuse. On m’a volé mon âme Leur fusil est maintenant leur meilleur ami. La guerre te contrarie, Et modifie tous tes plans. Et ce qui fut un homme à la pensée divine. Que nous et ceux que nous nous imaginons frères ? Car le sort est inscrit au fond de leurs yeux sombres pour asséner à ceux d’en face : Tandis que les crachats rouges de la mitraille Industriels, princes, sénats, Depuis que je suis né Et nos coeurs gardent la chanson. Seuls, les grands industriels en ont tiré profit. Laissant, en souvenir de son destin fatal. N’ayant soixante-quatre cases Merci à vous d'être venu(e) lire De quoi remplir à peine une moitié de toile. Carreaux cassés l’espoir encore y luit Les égrégores sont des sortes d'amas énergétiques dans lesquels s'incrustent Comme dans une crypte où flotteraient des ombres - Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Mon fils " murmurait l’autre. Ils vont semer la mort, la grenade à la main. La paix ! Se feront des politesses Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Chère Sophie, Pourvu qu'ils me laissent le temps Avec une lueur dans sa pupille d’or. Et de braise, et mille meurtres, et les longs cris Et cela pour des altesses Il a dévalé la colline Source : Poème proposé par Sonia Cheniti, écrivaine tunisienne, le 12 juillet 2010, et dont les paroles illustrent si bien les concepts de Graines de Paix, notamment l'importance d'aller vers l'autre pour toucher son cœur et permettre la paix. Entre ces dents d’airain avait mis sa couvée ; Et l’oiseau gazouillait dans le lion pensif. Et pleurer mes enfants Feu roulant. Qui vont épouvanter les veilleurs dans la nuit. De la chair après vos os ! Citation de Jean de La Fontaine ; Les deux coqs - 1678. Et fait de cent milliers d’hommes un tas fumant ; Pourvu qu'ils me laissent le temps Monsieur le Président Les soldats ont fondu dans la rouge fumée. Je me permets de partager avec vous mon poème "Enfants-Soldats", qui me fut inspiré par la guerre civile Nord-Sud au Soudan dans les années 2000 - alors que je travaillais pour l’ONU dans cette région. Rêve-t’il d’un lagon et d’une source claire, Rien n’est ni fort ni le feu ni la foudre Paris Paris soi-même libéré, Louis Aragon (1897-1982)Recueil : Non renseigné. Si ces maux n’apaisaient encor votre courage Les carnages, les victoires, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. POEME 20 LA CROISADE DES ENFANTS 1939 (Bertolt Brecht) POEME 7 : Le cauchemar des deux mères Tandis que flotte au loin le drapeau triomphant. Si vous voyiez mon coeur ainsi que mon visage, allons ! Mais que signifie t-elle? POEME 18 La guerre, folle immense (Victor Hugo) Gaston Chérau, photo-journaliste pendant la guerre italo-turque de 1911-1912; Auguste Renault, dernier Poilu mort sur le front ouest; Le journal d'Emile Joly, maire de Mende pendant la Grande Guerre; La Grande Collecte 2018 : transmettez vos archives de la Grande Guerre philosophes du XVIIIè, réactivés lors de la guerre de 1870 contre la Prusse. POEME 16 A tous les enfants (poème antimilitariste de Boris Vian), POEME 15 La mère fait du tricot Le fils fait la guerre (Prévert), POEME 14 Le lion de Waterloo (Victor Hugo, L’Année terrible), J’allai voir le lion de Waterloo. La lumière l'accompagnait Oh ! Des paquets de mitraille au nez des combattants. En symétrie, de part en part. Rien n’est si grand qu’un linceul déchiré point de quartier ! le roi est mort ! Il a deux trous rouges au côté droit. La Première Guerre Mondiale a brutalisé toute l’Europe, marqué tout le 20ème siècle. Craint maintenant qu’il veuille un jour être soldat ; Et même, bien avant que ce soupçon s’achève. C'est juste. Sur les routes de France Qu'on puisse avoir de la haine Quand le brouillard puant s’est enfin dégagé. L’espoir dans ce qui fut le désespoir naguère. D’une pulsion mortelle il l’abat et la broie Et que parmi ceux-là qui gisent dans la plaine. Aimer, songer sous les chênes ; Un poème par char. Nous la voulons ! (Implorait l’autre enfant ), Il clame ce Tyrtée(1) aux insanglants lauriers. Pour tous ces gens qui Vont peut-être mourir, Nous avons un grand Chagrin et aucun Plaisir. Pour les fusilleurs. Déjà vous n’êtes plus qu’un mot d’or sur nos places (poème d’Aragon), Génocide des cathares et crimes contre l’humanité perpétrés dans le Languedoc au 13ème siècle ? Si tu ne sais, dans l’ombre où ton hasard se vautre. C’est un trou de verdure où chante une rivière, Maman ! Verses and calligrammes by Guillaume Apollinaire.Art and Director: Andrey Suzdalev.Music: Igor Kolesov.Narrations: Nicolas Audureau.ALCOOL Studio, 2011 Dans cette espèce d’antre effroyable et difforme. ni trente-deux participants, Les mêmes oiseaux Mon père, ce héros au sourire si doux, En rougeoyants charbons lentement se calcine. Rosbach ! Prier dans l'ombre à genoux, Des deux côtés. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit. — Et, d’une voix bourrue : — Soit, dit le chef, lâchant le captif à moitié. Les hommes aplatis sous les effondrements. « Donne-lui tout de même à boire », dit mon père. Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons. Rien !… — Mais si, toute encor, … Voyant votre portrait souffrir les mêmes lois Qu’on rit, qu’on vibre d’aise aux chaleurs des charniers, ... Redis-lui le grand cri de tous ces morts sans nom, N’évoquaient, ô Patrie, ô fureur du canon, ... Dis-lui que nous fûmes grands, peut-être ; mais dis bien, Lorsque le vent hurlait à la mort, comme un chien, Et qu’il nous descendait de tragiques dégoûts. La tue en un éclair, par sa force magique. Quelques pistes, Caractéristiques du fascisme : Dix-sept critères, Noël : de la fête du Soleil renaissant à la naissance de Jésus, Malaise dans l’Education nationale. Alignement d’un face-à-face. Prenez-moi par la main, Doucement. Dans le tir des mortiers et sous le vol des mouches ? Et se réveille, quand des mères, ramassées Perpétuel brûlot de la patrie Frontière - POEME 4 Les Martyrs (Henry Jacques) Refusez de partir Aucun peuple ne tolère je me sens frémir, la vieille terre, Oh ! Notre marche vengeresse a tout occupé, Nous avons reçu, les bras ouverts Ces tas de gens sans être sévères, Ensemble vers une idée commune, Des … En bataillons épars sous le soleil brûlant S’élance dans les airs et bondit sur sa proie : Du Point-du-Jour jusqu’au Père-Lachaise Drogué, intoxiqué, écrasé de soleil Lors même que tout dort dans la chaleur safrane, Qu’elle est dedans sa tombe Mixage poétique : Stéphen Moysan ©. Merci pour cette recherche , je vais m ’en inspirer pour créer un partage poétique autour du devoir de mémoire . Il sautait à travers les herbes Il se tord comme un fer rouge dans une forge ; Des cris terrifiants rissolent dans sa gorge. Il court, mais de ses mains qui flambent peu à peu. Vous ne jetez brandon, ni dard, ni coup, ni trait, Vos avez raison, le partage de mémoire est essentiel. POEME 12 Marchez, frappez, tuez et mourrez, bêtes brutes (Victor Hugo dans Le Pape) Cliquez sur ce titre en bleu pour y accéder. Par les lance-flamme d’une attaque hardie. Des autels, à l’encens, aux grands calices d’or ; Pour tuer des pauvres gens Un crayon dans la main, c’est la mort qu’il dessine. Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Et qu’ils pourront tirer. L'acier luit, les bivouacs fument ; On respirait. D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, Tranquille. Tout à coup, celle-ci, qui rêvait. Souriant comme. Et tremble. Qui dans le bercement des hosannah s’endort, Si tes écroulements reconstruisent le mal. Les corbeaux de malheur qui chantaient la guerre. Seize sont blancs. Ce guerrier guette encore au coeur de la savane Pour partir à la guerre Sous les feux de midi lorsque tout semble mort S’il faut donner son sang Tournons dans la Morsure : Ah ! Je vais dire à l’enfant : À demain ! Les sombres âmes s'allument Tuer son frère est plus doux. Le poète Guillaume Apollinaire est mort de la grippe espagnole il y a tout juste cent ans, le 9 novembre 1918, deux jours avant l’armistice. Vous feriez, ma Diane, ainsi comme nos rois, Et la paix dans la gueule horrible de la guerre. – Pauvres morts ! Les asphyxiés, les écrasés, les massacrés. Ceux qui viennent savent s’adapter Et pour cela ils sont acceptés. Souriant comme Pas de guerre ! À mort ! Le regarde, et soudain elle devient peureuse. La gueule des canons crache à pleine volée. Car nos mains dociles ont pris. Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous Il n’y a plus que des larmes Sans peur dans la mâchoire affreusement levée. Il court sans savoir où, mais son bûcher le suit. Que voit-il renversé sur un sac de cartouches POEME 15 La mère fait du tricot Le fils fait la guerre (Prévert) Mein Kind ! allons ! Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Jette sur le sol cuit la flambante carcasse. Nomades sans merci, au détour d’un chemin Un Croate ! » Et tout mon cher passé Du coeur de l'homme effaré. Il a cueilli deux feuilles jaunes Plait aux peuples querelleurs, Qu´est qu´on en a rêvé ! et l’océan frappé… Quand on promet la paix, et la paix l’on célèbre, Au commencement de la Grande Année, au soleil de Ta paix sur les toits neigeux de Paris ... Qu’elle aussi a porté la mort et le canon dans mes villages bleus, qu’elle a dressé les miens les uns contre les autres comme des chiens se disputant un os le sang ! Pourvu qu'ils me laissent le temps Puisqu'il a commis le crime Que vous lirez peut-être Qui, baissant vers le sol leurs longs museaux avides. 1992 - Traité de Maastricht Chronologie du cours I – LES DEBUTS DE LA GUERRE FROIDE 1945 - L’URSS occupe l’Europe de l’Est après sa victoire contre … Mes papiers militaires Il faut que je vous dise Au milieu des combats, rien et nul ne l’arrête Quand les riches jouent à la guerre Les doigts crispés, la bouche ouverte et sans haleine. POEME 5 : Solitude (Solitude : extrait de l’album Sèves) Ma mère a tant souffert Des fleurs et des drapeaux joyeux ! L’emporter ou périr ! « Échec et mat ! Abonnez-vous à notre lettre d'information mensuelle pour être tenu au courant de l'actualité de Poemes.co chaque début de mois. Même sale et stupide ouvrage Un sou par jour ! Périssez ! Sur le visage de l’essentiel. Les conseils du ciel immense, Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue. Dans les constellations brillant au firmament En un moment. La gloire, sous ses chimères et durs combats. On se hache, on se harponne, Sifflent tout le jour par l’infini du ciel bleu ; Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; POEME 13 Déjà vous n’êtes plus qu’un mot d’or sur nos places (Aragon) Pardonnez-moi, Seigneur, quand l’Afrique meurtrie Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Mère Thérésa parle ici très clairement des égrégores. Poésie, poèmes et poètes. Sur moi de plus en plus à vous ! Pourquoi cet homme Qui promène en son flanc une ardeur meurtrière Jamais éteint renaissant de la braise Je mendierai ma vie Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, C’est pas pour vous fâcher LOVECRAFT, Howard Phillips - L'Affaire Charles Dexter Ward(1483) Ce baume répandu du flacon de l’enfance - Les princes et les rois,… T’attendent depuis longtemps. Seize sont blancs… la flamme d’or ! Tu fais parler de toi, Sur tout les continents. C'est un Russe ! Que la guerre a couché dans les terres étrangères. la paix. Et dit: « Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. Catégories les Plus Recherchées Amitié Femme Condition Humaine Poésie Mort Amour Enfance Beauté Jeunesse Bonheur Nature Guerre Sonnets Espoir Rêves Animaux Paix Solitude Erotique Corps Liberté Je t'aime Mariage UN POEME CONTRE LA GUERRE. Soudain le fauve clair en un saut fantastique L'a foudroyé sur l'autre rive Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Républiques de ce monde ! POEME 12 Marchez, frappez, tuez et mourrez, bêtes brutes (Victor Hugo dans Le Pape) Cliquez sur ce titre en bleu pour y accéder. Il avait eu le temps de voir Quand j’étais prisonnier Se traînent sur leurs mains en appelant leur mère. Si vous avez le temps Scandaleuse ironie du sort, aberration culturelle ou absurdité sans nom : Moins de 20 après sa disparition, la France construit puis lance à l’eau un navire de guerre portant son nom ! Il avait eu le temps de vivre. j'admire, en vérité, Marshall et Indépendance de l'Inde 1949 - Naissance de la République Populaire de Chine. L'épouvante se cramponne fiche : méthode courant LIPMAN ou courant BRENIFIER!) Que la paix! C'est de dire : Allons ! Les 4 saisons *, Les Enigmes *, Danielle Zerd ♡. Et je dirai aux gens Des empereurs, Depuis six mille ans la guerre. On ne fait la guerre que pour conclure la paix : donc, entre le soldat de la guerre et le soldat de la paix, la seule différence que j'aperçoive, c'est que le soldat de la paix prend le chemin le plus court ; il arrive au but tout de suite, il arrive à la paix sans traverser la guerre. Mais si cette… mourons ! Le temps de rire aux assassins Du lys pur, du nid doré, Spectres dont le bacille épuise la poitrine. Pourvu qu'ils me laissent le temps Sous le soleil brûlant de l’éternelle Afrique Je vins. Quand l'alouette a chanté. J’irai sur les chemins POEME 19 La gloire (Pierre Seghers) Tout aussitôt le jeu reprend. De son fusil poisseux de sueur ou de sang A quoi peut-il rêver dans son dernier sommeil ? Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. S’il faut se cacher pour faire l’amour D’où la mort a chassé des âmes de vingt ans. Parcourait à cheval, le soir d’une bataille, Citation de Jean Giraudoux ; La guerre de Troie n'aura pas lieu - 1935. Et vise au front mon père en criant: « Caramba! Au nez des années mortes Il est dieu, il est roi, déjà adulte en somme Jamais nous ne travaillerons, ô flots de feux ! Cités et campagnes ! mes amis ! On te sait très fragile, Et souvent menacée; Des accords difficiles, Te voilà apeurée. La commune soutint leur proposition mais la préfecture, au nom de l’Etat, l’interdit. D’argent ; où le soleil de la montagne fière. Le temps d'atteindre l'autre rive Et la paix dans la gueule horrible de la guerre. Mon fils ! LA GUERRE DE 1914-1918 en acrostiches Recueil composé par les élèves de 3ème3, sous la direction de Mme CROS, professeur de français . Citation de François de Malherbe ; Stances - 1609. Celui-ci, je le supprime » Et lui faisait danser son ombre Les pieds dans les glaïeuls, il dort. je ne suis pas sur terre Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Le dormeur du Val - (Arthur Rimbaud 1854-1891), Le jeune Rimbaud ou l’exigence d’une vraie vie, C’est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons. Et la terre en sautant sur eux s’est refermée. Nature, berce-le chaudement : il a froid. Ont pour grelot le tambour. Dans ses yeux grand ouverts, le guerrier endormi ? Du poing aux crins des chevaux. Les divers outils de carnage. POEME 6 : Verbales chimères et tragiques dégoûts (Alexis Danan) POEME 20 : G) LA CROISADE DES ENFANTS 1939 (Bertolt Brecht), POEME 18 La guerre, folle immense, hideuse (Victor Hugo). Soutenir la paix contre la guerre cela équivaut à soutenir la raison contre la folie. Prier à l’aller – et au retour Monsieur le Président je vous fais une lettre Il est arrivé près de l'eau Le père dit : — Tu vois. Et les chansons montent des murs détruits Pour au même plus bas prix. Quand brillent les autels à l’heure où l’on Vous prie. Il a deux trous rouges au côté droit. Discours argumentatif contre la guerre Introduction : Penser et lutter contre la guerre . Pour tous ces gens qui. L'homme, ivre d'un affreux bruit, La haine conduit à la violence, Que pour son fils ce beau régiment paradât. Je ne trouve la paix qu'à me faire la guerre. Victor Hugo (1802-1885)La légende des siècles. A mort ! Amour, Amour, Donne-Moi Paix ou Trêve par Pierre de Ronsard; Avoir Encore de L'Amour par Abderrahmane Amalou; BELLE COLOMBE par Belhamissi Sadek; Chant de la Paix par Louis Aragon; De la Guerre la Paix et de la Paix la Guerre par Louis Gallaup de Chasteuil; De la Paix Traitée a Cambrai par Trois Princesses par Clément Marot Seize sont noirs. Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. 3-4 Jean Paul 2 : La violence nourrit les guerres et affame les peuples.© De Bretagne en Provence Depuis six mille ans la guerre Plait aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. La cheminée fume loin de moi des cigarettes russes La chienne aboie contre les lilas La veilleuse est consumée Sur la robe on chu des pétales Deux anneaux près des sandales Au soleil se sont allumés Mais tes cheveux sont le trolley À travers l’Europe vêtue de petits feux multicolores (Ondes, Calligrammes 1918) Reçoit-il sur son front le baiser de sa mère ? 2. Et cet autre ? Et les multitudes noires Ce sont les gens Qui ont decidés. Le temps de courir vers la femme La jeunesse de Rimbaud, âgé de seize ans lors de cette guerre qui se déroule près de sa région natale, le conduit à réagir violemment contre les atrocités commises. 137 citations < 1 3 4 5 6 mein Kind " O vie cruelle ! " Je crois voir malgré moi un lion de diamant Mais la revanche est dans le sang. Les enterrés tout vifs dans les abris qui croulent. Qui n’ait avant mon coeur percé votre portrait. ... Personnes de courage, Opposants contre les ennemis Ils se battent pour leur patrie. Voyons les cabots de la guerre, Foutez-nous la Paix ! Gens de partout c’est le sang de Paris Se penchait vers lui, l’homme, une espèce de maure, POEME 10 Maudis les corbeaux de malheur qui chantaient la guerre Là-haut, entre les quatre murs Et les autres, les millions d’autres, le dirai-je ? POEME 13 Déjà vous n’êtes plus qu’un mot d’or sur nos places (poème d’Aragon) Cliquez sur ce titre en bleu pour y accéder. Demain de bon matin À la télé Et sous son front têtu casqué de boucles noires C’est ainsi qu’on a vu en la guerre civile Le mont tragique était debout comme un récif. Citation de Edmond Thiaudière ; La soif du juste (1895) Deux coqs vivaient en paix : une poule survint, et voilà la guerre … Ô malheur ! Quelques poèmes sur le thème de la guerre pour le cycle 3 G.Eich CPC YUTZ A l’occasion du 11 novembre, ces quelques poèmes sur le thème de la guerre pour le cycle 3 (à proposer en lecture offerte, en poésie anthologie et pourquoi pas accompagnés d’un petit atelier philo –cf. Elle se pratique en plein jour, Les étoiles et les fleurs. point de quartier ! Qu´est qu´on en a rêvé! » Que fait votre sujet qui porte votre image. Il s'est relevé pour sauter Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Et sous ses chars triomphants, – Il est un Dieu, qui rit aux nappes damassées C’est à qui le premier, aveuglé de furie, Se précipitera vers l’immense tuerie. Rien n’est si beau que ce Paris que j’ai Dans le vacarme des armes Coltineurs d’explosifs sur leur tête penchée. Guerre paix - Citations Citations guerre paix Sélection de 137 citations et proverbes sur le thème guerre paix Découvrez un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase guerre paix issus de livres, discours ou entretiens. Où fait-il bon même au coeur de l’orage Déguenillés, pieds nus, à peau de maroquin. POEME 2 Petit, lorsque tu seras grand ( Henensal) Et Dieu perd son temps à faire Que mon Paris défiant les dangers Refusez de la faire La place qui portait ses armes et son nom, la terre fond, Pourquoi ? Venez voir de plus près, dans ses affres fidèle. Pour nous aider et/ou pour le plaisir, acheter le Best Of de Stéphen Moysan. Malheuresement la Guerre a commencé. Un conflit inédit tant par son ampleur, par son bilan meurtrier, que par le degré d'inhumanité qu'il a engendré : inutile de revenir sur ces détails morbides et bien connus. L’un reconnaît son frère et l’autre son enfant. Soudain, la trompette à la bouche, Guerre, tu reparais, plus âpre, plus farouche, Écrasant le progrès sous ton talon sanglant. Ceux qui mettent des mois à mourir dans leur ruine. © Béziers, Marseille, Valbone, Pantin... des suicides révélateurs (16 articles), Causes de la Première Guerre Mondiale : capitalisme, nationalisme et responsabilité des Etats, A tous les enfants (poème antimilitariste de Boris Vian), La mère fait du tricot Le fils fait la guerre (Prévert), Marchez, frappez, tuez et mourrez, bêtes brutes (Victor Hugo dans Le Pape). Je voudrais voir les gens qui poussent à la guerre sur un champ de bataille (A. Ponsard 1814-1867). Pendant que vous pourrirez, Et qui disait: « A boire! Vous le verriez sanglant, transpercé mille fois, Tout ordre ; et l’Aquilon encor sur les débris Et l'on souffle la colère Forcée à me pleurer, et briser votre rage. Un monde en paix nous Le voulons, Pour le créer nous Combattons. ô toi qui fis ces hommes saintement !… POEME 8 Depuis six mille ans la guerre (Victor Hugo) POÈME CONTRE LA GUERRE Dans mon pays, nous vivons en paix Et entre nous, prônons le respect. Depuis six mille ans la guerre Voilà l’enfant-soldat, l’enfant qu’on assassine à boire par pitié ! À nous ! Et se moque des vers Qui, mouillés par le sang et la rosée amère. Les canons d'acier bleu crachaient Le poète Guillaume Apollinaire est mort de la grippe espagnole il y a tout juste cent ans, le 9 novembre 1918, deux jours avant l’armistice. 1957 - Traité de Rome 1991 - Eclatement de l'URSS. Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. Rien n’a l’éclat de Paris dans la poudre Le sang et l'eau se sont mêlés Moi je sais d’autres rois sous le ciel africain Je viens de recevoir Notre bonheur est farouche ; vont peut-être mourir, nous avons un grand . puissance, justice, histoire, à bas ! Ce sont les gens. Victor Hugo (1802-1885)Les chansons des rues et des bois. Jusqu’à la sombre plaine à travers les ravins... J’arrivai jusqu’à lui, pas à pas m’approchant... J’attendais une foudre et j’entendis un chant. Et toute vengeance ? Que le massacre et la nuit. La paix contre la guerre . A la fin des combats, assis dedans la cendre, . Voir de la Paix déjà poindre le front tremblant. » Ils sont trop, on ne les connaît plus. POEME 3 Le défilé ( F. Coppée) La paix ! POEME 1 Le dormeur du Val - (Arthur Rimbaud 1854-1891). Où fait-il clair même au coeur de la nuit initiative de Benoist Magnat et de l’association « Groupe du 32 Octobre » neuvième envoi février 2003. prochain envoi 1 er mars. Poème Prière de paix. On pourrait boire aux fontaines, Contre ceux qui ont le goût difficile un poème de Jean de La Fontaine Plus sur ce poème >> Poème de Jean de La Fontaine (n° 365) Livres de Jean de La Fontaine Défaire un empereur que pour en faire un autre. 1-2 Averroès © Qui en porte la responsabilité ? Stéphen Moysan (Né en 1979)La mort du romantique, Pour nous aider et/ou pour le plaisir, acheter le Best Of de Stéphen Moysan. Voilà notre grand amour ; Il torture un grillon teinté d’or et d’argent, À tant pleurer le temps cruel On court par monts et par vaux ; Jean Louis Asunsolo © Accrochant follement aux herbes des haillons Dans la préface de son poème, Dennis justifie l'emploi de vers blancs pour décrire la guerre par un parallèle avec la musique: la rime représenterait l'unisson et donc une harmonie factice, alors que "Perfection of Harmony is the Agreement of discordant Sound by the Mediation of others. Sur terre trop de vies S’apparentent avec sang. Détruire son honneur pour ruiner sa ville. Brigitte Briatte © Des guerriers trop menus, sans armure et sans heaume Monsieur le Président Rien ne m’a fait ainsi rire et pleurer je ne veux pas la faire Ce n’est rien ! Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Seize sont noirs. Les voir tous ces gens-là prêcher leurs théories, Devant ces fronts troués, ces poitrines meurtries. Cette mort du soldat qui vous semble si belle. Ce sont les pauvres qui meurent. D’un noir champ de bataille où, dans les blés versés, Sous la lune sinistre, on voit quelques blessés. Une humble voix sortait de cette bouche énorme. POEME 11 : Le cheval orphelin et la guerre (Jacques Prévert) Qu’écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue. Comme ce cri de mon peuple vainqueur Romanesques amis : ça va nous plaire. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. POEME 17 L’évadé (Boris Vian) passez, Joutes, et coups bas, et corps à corps, Ecrase un scarabée ou une salamandre. Il respirait l'odeur des arbres ...Le régiment défile, et l’enfant s’extasie. Engagé dans la Grande Guerre en 1914, envoyé sur le front en 1915, il est blessé par un éclat d’obus le 17 mars 1916 : « Bombardement.Je lisais à découvert au centre de ma section, je lisais le Mercure de France, à 4h un 150 éclate à 20 m. C'est à qui le premier, aveuglé de furie, Se précipitera vers l'immense tuerie. Et leur face tendue, et leurs gestes déments. Après 1918 , les anciens combattants du village avaient voté à l’unanimité cette inscription pour le monument aux morts local : "A tous ceux qui sont morts par force". Ce n’est plus qu’un débris tout recroquevillé. Rien n’est si pur que son front d’insurgé L’air est alcool et le malheur courage La salive des clairons. Avec, auprès du sien, le pas lourd de son fils. Des parcelles de chair et des bouts de capote. La paix! Europe, Asie, Amérique, disparaissez. Il est un fauve-roi au manteau de lumière Vous me fusillerez au détour de la rue, Ailleurs, où vous voudrez. Une étouffante odeur monte, de cuir grillé. j’y suis toujours. Ce doux rosier au mois d’août refleuri Ma décision est prise Plus tout-à-fait enfant, pas tout-à-fait un homme Complimenté est le gagnant. Aux yeux de dieu païen riant dans les ténèbres. Tous ces yeux et ces coeurs qui s’enflammaient naguère. Et c'est d'avoir à la bouche Seize sont blancs. Vengeance ! 27 septembre : Journée internationale contre la guerre POEME 14 Le lion de Waterloo (Victor Hugo, L’Année terrible) Ses pieds faisaient rouler des pierres En leur mémoire comme en mémoire de tous les morts, les gazés, les handicapés à vie, les veuves, les orphelins... nous mettrons en ligne peu à peu quelques textes et poèmes, écrits par des combattants pendant et après la Première Guerre Mondiale mais aussi par d’autres auteurs. Un bras nu, une main crispée sur une motte. Tout à coup, au moment où le housard baissé Théodore Agrippa d’Aubigné (1552-1630)L’Hécatombe à Diane. Dans notre imbécillité. qui ont decidés. Tandis qu’une folie épouvantable broie Le fascisme comme la Révolution russe ne peuvent être compris hors de cette matrice. Gorgées de sève et de soleil Pâles, nous nous déchaînons ; De son sourire dans le ciel Ça nous est dû. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Soudain, la trompette à la bouche, Guerre, tu reparais, plus âpre, plus farouche, Écrasant le progrès sous ton talon sanglant. Râlant, brisé, livide, et mort plus qu’à moitié. On retrouverait d’eux, en les réunissant, Morceau de chair salie, de cervelle ou de moëlle. Composition : Stéphen Moysan ©. O morts de France. On m’a volé ma femme Tout à coup, c’est la mort qui passe : un tremblement, Un souffle rauque, un jet de flamme. Seize sont noirs. Toute pleine du bruit furieux des clairons. La flamme, plus puissante, enfin, qui le terrasse. Puis qui s’accoudent, puis qui retombent enfin ; Et, seuls debout alors, des chevaux ayant faim. Je fermerai ma porte La sirène chantait sans joie Chagrin et aucun . POEME 13 Déjà vous n’êtes plus qu’un mot d’or sur nos places (poème d’Aragon) Cliquez sur ce titre en bleu pour y accéder. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine. APPEL - … Hugo écrit ce poème en 1871. La paix! Les plus petits sur le devant. Depuis six mille ans la guerre (Victor Hugo) Extraits. " Tout à la guerre, à la vengeance, à la terreur, Ultime effort Tapi dans le désert ou au fond d’une crique. Une sélection de poèmes de la catégorie ‘ Guerre ’ du site de poésie poetica.fr. Et que, dans le champ funeste, Déjà tout se remet en place. Dans l’angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Parla tout bas au chef de cette sombre guerre : « Lâchez-moi le collet. Le temps de boire à ce ruisseau Il décède en 1885. A quoi sers-tu, géante, à quoi sers-tu fumée. Israël L. Balan © Que la paix ! Engagé dans la Grande Guerre en 1914, envoyé sur le front en 1915, il est blessé par un éclat d’obus le 17 mars 1916 : Bombardement. Les égrégores : " Si vous manifestez contre la guerre ne m'appelez pas, mais si vous marchez pour la paix je serai là", très jolie phrase de Mère Thérésa.
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