Cordes de harpe et cordes vocales se mêlent, lorsque Salomon se produit seul sur scène. Le voyage d’une langue à l’autre, d’un répertoire à l’autre, participe à révéler l’éventail de possibilités de cet instrument magique qu’est la harpe celtique.
Shushan Hashalom c’est une histoire d’amitié tissée à travers les cordes de la harpe et nos voix. Shushan en hébreu désigne la rose, et shalom la paix, cette fleur fragile et précieuse que chacun porte au fond de son cœur et qui peut s’épanouir dès lors que nos mains se tendent vers autrui.
Projet né sous l’impulsion de l’association NEVEL pour le développement et la promotion de la harpe celtique sous toutes les formes et du spectacle vivant.
Une formule instrumentale intégrant des machines sur des musiques traditionnelles sud-américaines, plus particulièrement le tango argentin. Il se produit à l’occasion de milongas, bals des danseurs de tango.
Le Bal des Exilés est un invitation au tango dans son essence même, c’est-à-dire dans le métissage, cette musique qui est bien née quelque part tout en venant de partout et de nulle part.
Issus de répertoires traditionnels de divers pays, de diverses cultures, ces contes sont accompagnés de chants et de musiques aux accents venus d’ailleurs.